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Khoushal: Le 08/09/2025 à 19:32 | MAJ à 08/09/2025 à 20:13
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Publié : Le 08/09/2025 à 19:32 | MAJ à 08/09/2025 à 20:13

Deux Mauriciens, Lindsay Maurice Denys Lamy et Riyad Subratty, ont saisi la justice, affirmant avoir été victimes de graves manquements et d’abus de la part d’institutions publiques. Selon leur plainte, ces agissements auraient porté atteinte à leurs droits fondamentaux et causé d’importants préjudices financiers, moraux et psychologiques.

Les plaignants dénoncent des décisions arbitraires et discriminatoires qui auraient violé leurs droits constitutionnels. Ils évoquent des pertes économiques directes, un préjudice moral durable affectant leur réputation et leur équilibre personnel, ainsi qu’une souffrance psychologique prolongée.

  • Atteinte aux droits et à la dignité : Lamy et Subratty soulignent le non-respect de la Constitution mauricienne et des conventions internationales ratifiées par l’État.
  • Préjudices matériels et financiers : ils imputent à certaines décisions administratives un impact économique direct et significatif.
  • Souffrances morales et psychologiques : ils insistent sur le retentissement humain et social de cette situation.

Les deux plaignants souhaitent également mettre leur cas dans une perspective citoyenne plus large, alertant sur la vulnérabilité des Mauriciens face à un système où le manque de transparence et de

responsabilité peut engendrer des injustices persistantes et fragiliser la confiance envers les institutions.

Au plan judiciaire, Lamy et Subratty demandent :

  • La reconnaissance officielle des torts subis, pour rétablir leur honneur.
  • Des dédommagements financiers couvrant pertes et souffrances.
  • La mise en place de mesures correctives pour prévenir la répétition de telles dérives.

Pour eux, cette plainte dépasse le cadre individuel : elle s’inscrit dans un combat citoyen visant à rappeler l’importance d’un État de droit impartial, garantissant l’égalité de traitement et la protection effective des droits humains.

Le dossier est désormais entre les mains de la justice, qui devra examiner les arguments et déterminer les responsabilités. L’affaire sera appelée le 22 septembre en Cour suprême à 10 heures.

Les plaignants sont représentés par l’avocat Roshi Bhadain et l’avoué Yash Balgobin.