
C’est ce qu’a révélé le ministre de l’Agro-industrie, de la Sécurité alimentaire, de l’Économie bleue et de la Pêche, le Dr Arvin Boolell, mardi, à l’Assemblée nationale, en réponse à une question parlementaire de la députée Babita Thannoo.
Selon les précisions fournies par le ministre, ces recettes proviennent principalement de deux sources : les frais de licence payés par les navires de pêche, s’élevant à Rs 381,5 millions, et les frais de tonnage, qui totalisent Rs 156 millions (l’équivalent de 2,93 millions d’euros), versés par des navires battant pavillon mauricien mais appartenant à des armateurs étrangers.
Au total, 780 licences ont été délivrées durant cette période. La répartition est la suivante :
- 294 licences ont été accordées à des navires opérant dans le cadre de l’accord de partenariat durable dans le domaine de la pêche avec l’Union européenne (Sustainable Fisheries Partnership Agreement) ;
- 105 licences à des navires enregistrés sous l’accord de pêche réciproque entre Maurice et les Seychelles ;
- 311 licences à des navires hors de tout accord de pêche formel ;
- 70 licences à des navires mauriciens semi-industriels.
La majorité des licences ont été attribuées dans le cadre d’accords internationaux, notamment avec l’Union européenne et les Seychelles.
C’est ce qu’a révélé le ministre de l’Agro-industrie, de la Sécurité alimentaire, de l’Économie bleue et de la Pêche, le Dr Arvin Boolell, mardi, à l’Assemblée nationale, en réponse à une question parlementaire de la députée Babita Thannoo.
Selon les précisions fournies par le ministre, ces recettes proviennent principalement de deux sources : les frais de licence payés par les navires de pêche, s’élevant à Rs 381,5 millions, et les frais de tonnage, qui totalisent Rs 156 millions (l’équivalent de 2,93 millions d’euros), versés par des navires battant pavillon mauricien mais appartenant à des armateurs étrangers.
Au total, 780 licences ont été délivrées durant cette période. La répartition est la suivante :
- 294 licences ont été accordées à des navires opérant dans le cadre de l’accord de partenariat durable dans le domaine de la pêche avec l’Union européenne (Sustainable Fisheries Partnership Agreement) ;
- 105 licences à des navires enregistrés sous l’accord de pêche réciproque entre Maurice et les Seychelles ;
- 311 licences à des navires hors de tout accord de pêche formel ;
- 70 licences à des navires mauriciens semi-industriels.
La majorité des licences ont été attribuées dans le cadre d’accords internationaux, notamment avec l’Union européenne et les Seychelles.