L’étude a été effectuée par la section géotechnique du ministère des Infrastructures nationales en collaboration avec le gouvernement japonais. 62 zones à risques ont été identifiées dans cette étude.
C’est ce qu’a révélé le ministre de tutelle, Bobby Hurreeram ce matin lors d’un atelier de travail à la mairie de Port Louis. Toutefois, il n’a pas dévoilé les noms des 62 sites concernés.
Désormais, a-t-il fait ressortir, les autorités vont procéder à une évaluation des 62 zones et déterminer le niveau de danger de chacune d’elles.
Des actions seront ensuite prises pour atténuer les risques de glissement de terrain dans ces régions.