Des mesures pour réduire la violence scolaire ont été annoncées plus d’une fois dans les discours budgétaires. Dans ce cadre, l’État avait prévu de doter chaque établissement d’une discipline master et bien encore d’un psychologue. Toutefois, on est au huitième mois de l’année avec plus d’une dizaine de cas d’agression et toujours pas de structure en place.

Rappelons que le cas le plus récent est celui du collège Bell Village SSS où des élèves avaient été tabassés en essayant de venir en aide à un plus petit. Qu’est-ce que le ministère attend de plus pour mettre en action ses beaux discours ?

D’ailleurs, la majorité des cas de harcèlement est recensée dans le secondaire. Vinod Seegum, le négociateur de la Government Teacher’s Union, rejoint l’opinion du président de l’UPSEE. Ils pensent que la racine de ce phénomène a un lien avec l’encadrement dès le primaire.

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