Dans un récent rapport, la Law Reform Commission recommande la castration chimique pour lutter contre la récidive sexuelle. Cet avis est partagé par les travailleuses sociales à l’exemple de Mélanie Vigier de Latour Bérenger, psychosociologue et membre de KolektifDrwazanfanmorisien et kolektifdrwaimin qui était sur le Plateau de l’émission Zoom Extra, tout récemment. Elle a fait ressortir que la castration est nécessaire, mais on doit inclure un suivi thérapeutique pour les violeurs.

Lovena Sookee avocate et membre de l’ONG Pedostop a soutenu que la castration est déjà pratiquée dans de nombreux pays et pourrait être la solution pour Maurice.

Pour sa part Preesheela Mottee, de l’association Raise Brave Girls, plaide pour que la castration soit un traitement et non une sentence. Il faut séparer le médical du judiciaire, précise-t-elle.

 

 

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