L’ONG va prochainement démarrer une campagne pour lutter contre ce fléau. Elle propose que les autorités viennent avec un numéro d’urgence. Les personnes victimes de harcèlement dans les transports en commun pourront ainsi solliciter une assistance par texto.

La campagne va débuter en janvier 2023 et nécessitera le soutien de tous, explique Prisheela Mottee, présidente de Raise Brave Girls.

Article précédentDurant la période festive : « La police sera omniprésente pour veiller à la sécurité des citoyens et maintenir l’ordre », affirme le sous-inspecteur Mirza Boodhun
Article suivantPublic Service Commission : « Il faut de la transparence au niveau des recrutements », lance Radhakrishna Sadien