De plus en plus, les Mauriciens au plus bas de l’échelle arrivent difficilement à joindre les deux bouts. Pour les plus pauvres, manger correctement, soit trois repas par jours, constitue un rêve inaccessible de par la situation actuelle.

Avec la cascade d’augmentation des prix des produits de base, les observateurs craignent le pire. Pour Amar Deerpalsingh, opérateur économique et président de la Fédération des PME, même la classe moyenne est en train de glisser dangereusement vers un appauvrissement.

Il prévient qu’il y a le risque d’une grave crise alimentaire.

Reported by: Murvind Beetun
Posted by : Jessila Limbeea

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