Ces derniers, dit-il, sont des professionnels de santé. À ce titre, ajoute-t-il, ils méritent de prélever des frais pour les conseils prodigués.
Siddick Khodabaccus explique qu’il y a un énorme travail derrière chaque prescription.
Il rappelle qu’en cas d’erreur, le pharmacien peut être appelé à fournir des explications.
À noter que le Pharmacy Council n’a pas encore émis de directives claires en ce qui concerne l’implémentation de cette mesure, selon son président, Faisal Elyhee.