Cette internaute a été traduite devant le tribunal de Mahebourg cet après-midi.

Les enquêteurs de la Cybercrime Unit ont objecté à sa remise en liberté conditionnelle. L’habitante de Rivière des Créoles devra retourner devant la justice le 20 avril.

Une accusation provisoire d’utilisation d’un outil de télécommunication pour contrarier et humilier autrui, sous la section 46 de l’ICT Act, a été retenue contre elle.

La police lui reproche d’avoir, le 6 avril dernier, fait un live sur Facebook dans lequel elle a tenu des commentaires scandaleux et obscènes à l’encontre du gouvernement et d’Arnaud Marie Cyril Lagesse, Group CEO d’IBL Ltd.

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