Pour éviter la propagation de l’épidémie, le Premier ministre a instauré un couvre-feu sanitaire depuis le 20 mars dernier. Mais durant le confinement, trois meurtres et plusieurs agressions ont été rapportés dans le pays.
Pour le psychologue Sarvesh Dussoye, tous ces cas découlent de l’impact psychologique du confinement. La population, dit-il, a des difficultés à gérer leurs émotions.
De son côté, le sociologue Ibrahim Khoodoruth dit s’interroger sur le lien entre certains de ces cas et la situation financière des personnes impliquées.