Commentant la situation de violence policière présente dans les prisons de l’Île notamment celle de Phoenix, Me Rama Valayden qualifie ces actes “d’extrêmes barbaries”. Il déplore le mutisme de la commission des droits humains face à cette situation. Il explique avoir envoyé une lettre en ce sens au Human Rights Commission pour qu’elle se ressaisisse et réagisse à la situation. Selon Me Valayden le Human Rights Commission devrait agir sans être influencé par les opinions politiques ou celles de la population.

Article précédentState Bank of Mauritius: Gel du boni de performance
Article suivantPermis de conduire : La reprise des tests de conduite envisagée pour le 4 juin, le président de l’association des moniteurs d’auto-écoles s’oppose à cette idée